Sa main noueuse à la peau parcheminée, effleurait la carte avec une certaine tendresse, comme l’aurait fait une mère avec son enfant.
La lumière vacillante des bougie et des torches qui éclairaient le bureau faisait courir a sa surfaces les ombres déformer des pille de rapport qui envahissaient son secrétaire.
Altaroth sourit, amuser par cette danse qui lui rappelait ses serviteurs, en ce moment même occuper à modeler le terrain à sa volonté.
- Les ravitaillements en matière première sont-il bien arrivé ? Demanda-t-il au démon déchu agenouiller devant lui.
Sa voix, bien que dénué de toute tentions, avait le dont d’affoler les sens de ses interlocuteurs.
Telle le calme avant la tempête, ou le léger ronronnement annonçant une avalanche, on ne pouvait ce fier au parole mielleuse du démon abyssal, le démon mineur en avait déjà fait nombre de fois la douloureuse expérience.
- Tout est en ordre mon seigneur, répondit celui-ci sans relever la tète. Le convoi est arrivé dans les temps prévu, le déchargement prend fin d’ailleurs en ce moment même.
Il se retourna vers l’un des deux esclaves kahelan qui le suivait, les livre de comptes et de rapports a la main, fit signe à l’un deux d’approcher, puis poursuivit en lisant.
- Les remparts de notre forteresse sont désormais achevés, les ingénieurs s’attache à la réalisation du donjon et de vos appartement désormais.
Altaroth sourit, satisfait de la réponse de son intendant.
- Quand à la piste sud,…le mineur hésita
- Et bien autre chose, Acéran ?
L’intendant des ténèbres, fut pris d’un haut-le-cœur, le sang battait furieusement à ses tempes.
Les deux esclave kahelan blêmirent à leur tours, se recrocviant d’instinct.
- C'est-à-dire que oui maître,...le convois des citées du Sirok,…
Agacé Altaroth, le pressa.
- Et bien parle vile créature, annonce moi dont ton rapport ! Le timbre de sa voix cette fois avait des accents d’éboulement, et le démon mineur n’en fut que plus réticent à livrer ses informations.
- Le convoi seigneur, a été partiellement perdu suite à un bombardement ennemi.
Altharot ne réagit pas, ce qui fini de saisir son intendant de panique, tel un volcan avant une éruption, le démon des abysses restait de marbre, presque éteint.
- Qui ? Dit-il simplement après de long seconde d’un silence pesant.
- Les humains mon maître. Un raid aérien dans le canyon du chemin des croisés. Celui-ci a pu être repoussé, mais trois des huit attelages ont été détruit durant l’affrontement
Les six monstres qu’il renfermait ont été perdus.
Le poing du régent de la légion écarlate s’abattit avec violence sur la table, fissurant les os blanchis qui en soutenaient le plant de travail et causant l’effondrement de deux des pille de rapports.
- Ses cloportes ont cette fois atteint les limite de ma patience !
Sa main noueuse passa doucement sur le parchemin jaunis de la carte, observant avec attention chaque village, mine, chemin ou ponts de la région, il s’attarda enfin sur les ruines d’Ogmastéria.
Un sourire naissant sur le visage, il déclara.
- Que l’on face dire a mes dresseur de préparer les gargouille, je vais me retirer dans mes appartement quelques heurs afin de préparer une digne punition a ses punaise pleine d’arrogance, et que l’on m’amène Shaark, j’ai de nouveau ordre pour sa compagnie…
Emergence
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La mort est en marche...
Je ne peux cautionner ses actions, proscritent par les saintes écritures d'Illénia!
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Faidhera - Messages: 161
- Inscription: Lun 1 Nov 2010 23:06
La nuit des morts vivant...
Le cœur de complainte emplissait toute la cité en ruine, se répercutant sur chacun des murs encore debout après soixantaine années d’abandon, si bien qu’on n’aurait pue penser que profondément enfoui sous les fondations de l’ancienne cité de lumière, une petite salle de pierre grossièrement assemblé, était la source de ses dolentes litanies.
L’ancienne salle d’entretien des égouts baignait dans la lumière vacillante de dizaines de bougies noires parées de runes démoniques.
Huit adeptes encapuchonnés entonnaient avec force et ferveur le chant rituel disséminé aux quatre coins de la pièce. Au centre les bougies soigneusement déposées sur le sol formaient le motif tremblant dans les courants d’air moite et acre des souterrains, d’un cercle abritant un pentacle. Des runes de pouvoir dessiner de sa et la, autour et à l’intérieur de l’assemblage lumineux révélait la complexité et la puissance du sortilège qui se préparait.
Enfin au centre de l’espace aménagé se tenait un homme uniquement vêtu de braies noir et or, sur son tors nue on pouvait discerner de nombreuse cicatrices ainsi qu’un tatouage religieux au forme d’une chimère a trois tète qui partait de son dos pour passé sur son flan gauche et qui étreignait son sein.
L’homme à la musculature sèche et vouer à l’efficacité se tenait tète baissé et psalmodiait à voix basse, mêlant ses murmure à ceux de ses acolytes.
Au dehors le crépuscule commençait à plonger l’ancienne cité et sa région dans les ténèbres.
Et alors que le soleil disparaissait à sous l’horizon, un étrange brouillard se levait, se faufilant dans chaque rue, chaque, maison profitant de la moindre fissure qui lui laissait la voie libre.
Au fait de l’une des tours encore debout, le jeune lieutenant Arédhiaf observait appuyer sur le parapet la région et plus particulièrement la piste qui descendait du nord et qui longeait sans y pénétrer la cité.
Son sac ainsi que son épée reposait contre le mur de pierre juste à coté de la carte des rue et des bâtiment qui l’entouraient.
Le vent du soir qui soufflait, lui murmurait comme toujours d’étrange et sombre penser ou violence et agonie régnaient en maîtresse. Le regard perdu dans le loin il ne réagis pas immédiatement quand le bruissement égale à celui du vent qui s’engouffre dans les voiles d’un navire, se rapprochât de lui, pas plus qu’au moment ou les pas rapide sur la pierre derrière lui annonçait la venu d’un visiteur.
Le bruit cessa.
Arédhiaf inspira profondément avant de se détourner de son observation puis se retourna pour découvrir qui venait le demander.
A genoux les ail de cuire encore couverte des cicatrices des combat de la nuit, l’esclave Kaine se tenait tète baisser son fléau à la main.
Arédhiaf souri, de tous les khaelan qui le servait, Kaine était de loin son préférer. Sa violence au combat et l’absence significative de désir autre que celui de le satisfaire l’avait toujours rendu au yeux du paladin noir différent.
Sans un mots le maître se campa devant son serviteur, attendant son rapport.
- La colonne annoncer par le seigneur Shaark est en vue maître. J’ai pu en dénombrer une cinquantaine, dont vingt sont montés et puissamment armé, notre raid de la nuit passer à réveiller ces misérable fourmis !
Le paladin souri de plus belle.
- Dans ce cas qu’ils approchent j’ai hâte de revoir ses soldats de lumière affin de leurs présenter l’unique vérité dans l’agonie lente de leurs trépas.
Mon épée a faim !
Kaine leva la tète, et plongeât ses yeux dans ceux de son maître. Pour ce geste Arédhiaf aurait pue le punir par le fouet ou même pire, cependant il n’en fit rien. Le petit khaelan l’amusait et par son comportement bien souvent il se retrouvait car, son regard de braise trahissait l’excitation presque perverse que celui-ci ressentait à l’idée d’un nouveau bain de sang.
Au loin alors que le soleil venait de disparaître pour la nuit, la colonne des soldats de Jahraa quittait la piste pour la cité détruite, s’enfonçant lentement avant de disparaître dans l’étrange brouillard qui avait fini de tomber.
Un long râle plaintif monta soudain de cette mer de brume, rejoint par des dizaine d’autres.
La nuit serrait long pour les hommes qui bravaient l’inconnue.
Peux être, serrait elle même éternel…
L’ancienne salle d’entretien des égouts baignait dans la lumière vacillante de dizaines de bougies noires parées de runes démoniques.
Huit adeptes encapuchonnés entonnaient avec force et ferveur le chant rituel disséminé aux quatre coins de la pièce. Au centre les bougies soigneusement déposées sur le sol formaient le motif tremblant dans les courants d’air moite et acre des souterrains, d’un cercle abritant un pentacle. Des runes de pouvoir dessiner de sa et la, autour et à l’intérieur de l’assemblage lumineux révélait la complexité et la puissance du sortilège qui se préparait.
Enfin au centre de l’espace aménagé se tenait un homme uniquement vêtu de braies noir et or, sur son tors nue on pouvait discerner de nombreuse cicatrices ainsi qu’un tatouage religieux au forme d’une chimère a trois tète qui partait de son dos pour passé sur son flan gauche et qui étreignait son sein.
L’homme à la musculature sèche et vouer à l’efficacité se tenait tète baissé et psalmodiait à voix basse, mêlant ses murmure à ceux de ses acolytes.
Au dehors le crépuscule commençait à plonger l’ancienne cité et sa région dans les ténèbres.
Et alors que le soleil disparaissait à sous l’horizon, un étrange brouillard se levait, se faufilant dans chaque rue, chaque, maison profitant de la moindre fissure qui lui laissait la voie libre.
Au fait de l’une des tours encore debout, le jeune lieutenant Arédhiaf observait appuyer sur le parapet la région et plus particulièrement la piste qui descendait du nord et qui longeait sans y pénétrer la cité.
Son sac ainsi que son épée reposait contre le mur de pierre juste à coté de la carte des rue et des bâtiment qui l’entouraient.
Le vent du soir qui soufflait, lui murmurait comme toujours d’étrange et sombre penser ou violence et agonie régnaient en maîtresse. Le regard perdu dans le loin il ne réagis pas immédiatement quand le bruissement égale à celui du vent qui s’engouffre dans les voiles d’un navire, se rapprochât de lui, pas plus qu’au moment ou les pas rapide sur la pierre derrière lui annonçait la venu d’un visiteur.
Le bruit cessa.
Arédhiaf inspira profondément avant de se détourner de son observation puis se retourna pour découvrir qui venait le demander.
A genoux les ail de cuire encore couverte des cicatrices des combat de la nuit, l’esclave Kaine se tenait tète baisser son fléau à la main.
Arédhiaf souri, de tous les khaelan qui le servait, Kaine était de loin son préférer. Sa violence au combat et l’absence significative de désir autre que celui de le satisfaire l’avait toujours rendu au yeux du paladin noir différent.
Sans un mots le maître se campa devant son serviteur, attendant son rapport.
- La colonne annoncer par le seigneur Shaark est en vue maître. J’ai pu en dénombrer une cinquantaine, dont vingt sont montés et puissamment armé, notre raid de la nuit passer à réveiller ces misérable fourmis !
Le paladin souri de plus belle.
- Dans ce cas qu’ils approchent j’ai hâte de revoir ses soldats de lumière affin de leurs présenter l’unique vérité dans l’agonie lente de leurs trépas.
Mon épée a faim !
Kaine leva la tète, et plongeât ses yeux dans ceux de son maître. Pour ce geste Arédhiaf aurait pue le punir par le fouet ou même pire, cependant il n’en fit rien. Le petit khaelan l’amusait et par son comportement bien souvent il se retrouvait car, son regard de braise trahissait l’excitation presque perverse que celui-ci ressentait à l’idée d’un nouveau bain de sang.
Au loin alors que le soleil venait de disparaître pour la nuit, la colonne des soldats de Jahraa quittait la piste pour la cité détruite, s’enfonçant lentement avant de disparaître dans l’étrange brouillard qui avait fini de tomber.
Un long râle plaintif monta soudain de cette mer de brume, rejoint par des dizaine d’autres.
La nuit serrait long pour les hommes qui bravaient l’inconnue.
Peux être, serrait elle même éternel…
Je ne peux cautionner ses actions, proscritent par les saintes écritures d'Illénia!
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Faidhera - Messages: 161
- Inscription: Lun 1 Nov 2010 23:06
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