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Journal d'un jeune Roi

MessagePosté: Dim 1 Mai 2011 10:08
de Faidhera
13eme jour du 4eme moi de l’an de grace 39 de l’ère du renouveau



Aujourd’hui 214ème jour de colonisation nous savourons enfin un instant de répit. Après plus de six mois de labeur acharné mes fidèles sujets ont bien mérité une journée de repos.
Lylthbrad est enfin totalement érigée ainsi que nos fermes et camps de bûcheronnage, même la mine produit à son rendement maximum depuis déjà près d’un mois, seuls quelques travaux de peinture dans l’hôtel de ville restent à effectuer, mais cela saura attendre, c’est pourquoi j’ai déclarer par décret cette journée chômée.

Le peuple est fort et courageux mais l’hiver dans ces contrées a été rude et je peux sentir leur épuisement. Des jeux auront lieu, tantôt ils permettront ainsi de détendre la populace mais aussi à mon capitaine de repérer ses futurs soldats.

De ma fenêtre je puis apercevoir les premiers bourgeons sur les vergers qui bordent le village, l’arrivée du printemps et les bonnes nouvelles que m’ont fait porter Kentsui et Faidhéra sur nos relations avec le Royaume d’Azur me réchauffent le cœur.
Comment pourrais-je alors que tout autour de moi chante la joie et le bonheur, désespérer en songeant à l’artefact sombre et à son immonde propriétaire, qui je le sais n’a de cesse depuis une année de nous localiser pour le réclamer !
L’avenir me semble étrangement incertain, alors que les doux rayons du printemps s’enjoignent à nous réchauffer.
Les terribles légions du chaos sont en marche et je ne doute plus désormais qu’elles frapperont bientôt à nos portes pour réclamer le cœur de leur maître.


Extrait du journal de Lord Lyham Interlothard Seigneur des Plaines Australes.

Mieux vaut tard que jamais...

MessagePosté: Dim 29 Juil 2012 07:43
de Faidhera
13eme jours du 6eme mois de l’an de grâce 39 de l’ère du renouveau



Loué soit la lumière d’Illénia et ses anges sur Utopia !
Aujourd’hui 412ème jour de colonisation. Est une très belle journée pour le royaume et grâce à la magnanimité de notre mère de lumière mon peuple peu enfin reprendre pleinement espoir.

Aujourd’hui lors de notre entretien quotidien avec notre chambellans Hydriss, nous avons pu donnez par notre mure réflexion ainsi que par notre grande capacité artistique, un nouvel étendard à notre bon peuple.
Désormais le lion des montagne sur fond rouge veillera a garder de ses griffes la devise de mon défunt père, que je fit mienne ressemant.
« force et loyauté »

Et j’en suis désormais certain les bienfait qui ont suivit dans cette journée, on été un signe de l’approbation par la déesse de ma décision à ce sujet.
En effet suivant notre entretien matinal, vint le moment de menez d’âpres négociations avec le peuple troglodyte. Et si j’avais d’abord redouter ces pour parler avec le grimsborith Barzul, il n’en fut rien.
Notre affaire était rondement menée après moins d’une heure seulement et si dans l’accord je m’engage à fournir au nain une quantité de bois purement titanesque, j’ai pu arranger l’extension gratuite de lylthbrade !
50.000 pièces d’or d’économiser pour les caisses de notre royaume naissant ! Notre précepteur et maître des comptes de Gilbertheim, maître Kanterre serrait sûrement impressionné.

Mais ce n’est pas tout, car plus tard dans la journée une autre nouvelle d’apparence anodine renversa purement et simplement l’équilibre de nos finances.
Un ancien caporal de l’armé de mon père et fidèle serviteur reconvertie dans la prospection de matière première exploitable, vint nous porter le message que de curieuse inscription ornaient les ruines d’un ancien avant poste.
J’envoyais donc mon équipe favorite et au combien efficace enquêter sur place, accompagner de notre invité qui pour l’occasion voulais profiter du voyage pour s’adonner à la chasse aux dragons sur nos terres.

A la nuit tombée quand Faidhéra, kentsui, Straîa et le grimsborith Barzul revinrent, par Illénia j’en suis encore tous existé !
Il ramenèrent avec eux, près d’une cinquantaine de rescapé de la terrible guerre qui avait chasser mon grand père à l’époque de ces terres, ainsi que du matériel de reconstruction et de l’or pour une valeur de plus de 2.000 Licornes d’or.

Faidhéra à finalement raison, aime et le ciel t’aimera !

Extrait du journal de Lord Lyham Interlothard Seigneur des Plaines Australes.

Réunion au sommet.

MessagePosté: Sam 5 Juil 2014 08:55
de Faidhera
5eme jours du 7eme mois de l’an de grâce 39 de l’ère du renouveau



Comme le temps file sans jamais nous laisser de repos.
Aujourd’hui 433ème jour de colonisation, nous voila revenue 3 ans dans le passé, bien qu'en aucune manière nos rôle soit identique.
Voila trois cycles déjà que nous marchions au devant de nos armées sur ces terres de Jahraa pour stopper la progression de l'armée des morts mener par Fhaidhéra.

Trois fois l'hiver est venue et trois fois il s'en est allé et me revoilà, dans ce même palais du Roi Ysarn, à parler alliance, commerce et pouvoir.
Seul mon père adorer me manque.
livré a moi même dans une bataille bien plus subtile que celles auxquelles mes amis mon habitué, je prie pour que la déesse me donne la force et l'intelligence de discerner les piège de ce fourbe de politiciens.

Une alliance, regroupant les plus grande nation humaines portant fièrement les couleurs de la lumière, pour unir le monde dans une paix durable et sans craindre l'ombre du mal!
Quel rêve! quel espoir! A l'heure ou les trouble l'agitation et la guerre ravage chaque parcelle du monde connue, un tel discourt ne peut que fédérer, et pourtant...

Déjà les royaumes azure et de Firow on refuser de prendre par a la lute contre le mal, jouant sur tous les tableau en créant de leurs propres coter une ligue de citées franches, neutres et commerçant avec chacun, lumineux comme ténébreux!
L'or est décidément la plus grande des tentation, merci Illénia de m'en avoir privé jusqu'ici!
Et les Elfes! Hautain et bien pensant, ces quarres n'ont sue que renier les ancienne alliances au nom de leurs sacro saint équilibre!
Ne voient-ils pas l'ombre des ténèbre qui s'étend chaque jours un peut plus sur notre monde?!

Enfin cette fois les humain serreront seul pour faire face.
Mais j'ai fois en nous et en notre capacité à faire le bien, et l'ennemis partage mon points de vue car déjà, après seulement 2 jours de négociation, il lance ses espions pour nous réduire au silence!

C'était sans compter sur mes deux amis et fidèles défenseurs, ainsi que sur la vindicte du Grimthborite Barzul!
Enfin tout est de nouveau calme et demain les pour parlers reprendrons ...


Extrait du journal de Lord Lyham Interlothard Seigneur des Plaines Australes.

A la poursuite du mal

MessagePosté: Mer 16 Juil 2014 08:44
de Faidhera
19eme jours du 7eme mois de l’an de grâce 39 de l’ère du renouveau


Sombre journée.
Aujourd'hui l'ombre des ténèbres a réclamée son due.
Aujourd'hui j'ai à nouveau pu pleinement, prendre conscience de la fragilité de nos existence.
Alors que de retour de mission commander, je retrouvais le Druide Furion entre la vie et la mort, grièvement blesser par l'engeance du mal.

Alors que les lanterne du palais s'allume doucement, je prie la déesse, que la flemme de l'homme qui autre fois m'avais trahis ne s'éteigne pour toujours, et qu'il puisse recevoir la chance de changer au yeux des anges et des siens.

Extrait du journal de Lord Lyham Interlothard Seigneur des Plaines Australes.

Grimthborit coût que coût

MessagePosté: Sam 11 Juil 2015 13:09
de Faidhera
La troupe avançais sans un mot, guider par le rythme régulier et presque mécanique du cliquetis des armures de plaques.
Le soleil à son zénith cuisait littéralement les pauvres soldats nains sur la piste rocailleuse, en cette fin du printemps, les montagnes Zwark n’offraient aucune ombre pour soulager leur fardeau.
En tête l’éclaireur stoppa, faisant signe au capitaine Magnam de le rejoindre.
Soulager de cette halte improviser ses guerriers en profitaient pour poser leur barda a terre et rapidement une flasque de liqueurs tourna de mains en mains.

-quelles nouvelles Drogan ? Demandât le capitaine à son éclaireur.
Le soldat poussa du pieds un tas de tissu recouvrant des ossements brisés sur le côté de la piste.
-un cadavre de khaelan capitaine, on lui a briser le crâne.
Il leva le bras pour indiquer cette fois la piste en contre bas.
Huit pieux étaient planter dans le sol formant un demi cercle, sur chacun était planter une tête momifier par le soleil brûlant, un panneau de bois brute portant une inscription avait été attacher sur l’un d’eux.

< ici 100 générations de nain ont veiller sur la montagne.
Fuyez ! Retourner dans la douceur de vos flammes infernal !
Ou je vous révélerai le vrais visage de la souffrance, avant de rebâtir nos citées sur vos ossements. >

Le capitaine des durodin se tourna vers ses soldat.
-apportez moi une Corneille, j’ai un rapport à transmettre au seigneur Grimthborit.

Dans ses appartement de Dun’Norog, Barzul fini de parcourir les quelques ligne du rapport de sa mission de reconnaissance.
Qu’Alema l’entende, il fallait retrouver ses survivant sain et sauf ! Une fouge pareille ne pouvait que servir ses intérêts en de pareils moments.
On frappa à la porte.
-Mon Seigneur, vos hommes sollicitent une audience sur la place de village.
-Un problème ?
-Je ne saurait vous répondre, les soldats ce sont rassemblés et mon envoyer sollicité votre présence.

Avançant d’un pas rapide sur le sable de l’unique place du village, Barzul ce demandait ce qui avait bien pu motiver un telle attroupement.
Une trentaine de nains dont la moitié appartenaient à son armée était agglutiné en une masse compacte qui ne laissait rien apercevoir de ce qui ce passait.
-Et bien que ce passe t-il ? Que signifie tous ce remue ménage ?
L’un des nains, un vieux balafrer que Barzul savait affecter à l’avant poste de la mine d’eroime, pris la parole pour les autres.
-Seigneur Barzul, nous savons tous ce que vous avez fait pour nous.
Sans votre courage, jamais les hommes ne nous auraient ouvrent les portes de kieslef l’année passer et personne ici ne serrait plus la pour ce pleindre,mais...
-Mais !?! S’étonna le Grithborit.
-Oui il y a un mais Barzul.
La familiarité du guerrier étonna plus d’un nain de l’assemblée.
-Nous avons longuement parler avec nos frères d’armes et il s’avère que bien que vos talents de guerriers ne soit pas remis en cause, vous ne pouvez pas être notre Grithborit.
Soudain il sembla que le village et la montagne entière furent écraser sous un chape de silence.
Le sang de Barzul ne fit qu’un tour. N’en aurait-il donc jamais fini avec tous ces gens qui passaient leur temps à remettre en cause son autorité ?
-Je ne peux pas, dis tu ? Et pour quel obscure raison ?
Lentement Barzul se déplaça pour adopter une posture défensive.il commençait à regretter d’être sorti sans aucun équipement.
-Oui Il est impossible pour vous de nous guider dans la bataille et sur le chemin escarper de notre destinée sans... Ceci !
A ces paroles la foule s’ouvrit révélant un énorme Argoth recouvert d’une armure de plaque comportant une selle sur son dos.
La bête massive mesurai bien un mètre vingt au garo.
-Bon retour parmi les votre Seigneur ! Hurla d’une seule voix la foule.
Le vieux nain baissa la tête cette fois.
-Pardonner cette mise en scène Seigneur Grimthborith mais il fallait voir votre tête !
Il ce nomme Uruk Draemontar. Nous l’avons capturer dans les montagne pour vous.

Ce soir la, la bière coula à flo et les chants joyeux des durodin résonnairent dans les montagne Zwark. La guerre paru bien loin au jeune chef de clan.

Uruk Draemontar ( broyeur d’ork ) :
Argoth des montagne zwark
PV 50. F 9/0. E 2/0. CC 68. Vit 10. A 2. I 35. Pers 40. Int 30.
Compétence :
-Charge 50/80
F+2/0+ 0/1 par tranche de 2% de maîtrise de compétence.
-Ruade 50/80
Touche 1D4/2 personnes derrière lui (DMG contendant )
F+ 0/5 et coup critique + 1 par tranche de 20% de maîtrise de compétence.

Armure de plaque bestial.
A : 7/0

gardien de notre mère la terre

MessagePosté: Sam 11 Juil 2015 15:07
de Faidhera
Il était vraiment agréable de trotter dans les bois en cette saison.
Le grand loup gris adorais la sensation que lui procurait les aiguilles de pin sous ces coussinets et l’air frais du soir dans sa fourrure épaisse.
Son attention était focalisé sur l’origine de cette étrange musique.
Interrompant sa chasse il c’était mis à la recherche de ce qui cossait cette agréable vibration d’est qu’il lu entendu.

Il n’était plus très loin et désormais il pouvait distinctement comprendre que la musique était le fait d’hommes. Mais leurs présence sur son territoire ne l’irritait pas, cette mélopée apaisait ses sens il ce sentait en sécurité, aussi serin que lorsque qu’il n’était qu’un louveteau, sa mère lui donnais la tété.
Franchissant un buisson, enfin il arriva.

Réuni en cercle une assemble atypique d’homme, d’elfe, d’ork et d’un centaure chantaient,cette musique qui l’avait détourné de la recherche de son prochain repas.
L’herbe au centre de leur formation était balayer par d’invisible courant d’air et parfois l’on pouvais apercevoir de fugaces formes mordorées dansées entre eux.
Le loup se coucha au sol, profitant de cet hypnotique spectacle.

Furion quitta le rang sans cesser de chanter.
Doucement, avec autant de respect que s’il avait fouler la sacristie d’un temple, il s’avança jusqu’au centre de leur formation avant de s’agenouiller.
-Mère, écoute la prière de tes serviteurs et donne à ta larme la force de croître.
Il creusa le sol de sa main pour y placer la graine.
-Par ce geste et par nos chant je prie pour que ta création pousse et qu’elle prenne vigueur pour reigner sur tes forêts du Nord.
Il se releva lentement, écarta ses bras et rejoints ces camarades dans leur cantique.
Lentement la terre se souleva et une jeune pousse se développa grimpant à la recherche des rayons du soleil.
Le gardien du bosquet recula d’un pas, laissant la plante croître jusqu’a atteindre la taille d’un homme.
Le chant stoppa.
-voici la larmes des forêts du Nord !
Frères notre devoir désormais est de veiller sur elle au nom de notre mère la terre, pour que l’ordre de Faraa puisse à nouveau régire notre monde.
Le front ruisselant de sueur, épuisé par leur incantation ses amis et frères de prières sourirent.
Bientôt les cinq autres larmes serrait planter et la vrais puissance de la nature pourrais à nouveau purifier leur monde, corrompue par le chaos.

L'arme de Faraa :
Cette arbre originaire du sous plan de Far, ne pousse plus sur Utopia depuis plusieurs millénaires, les 6 dernières graines ont été depuis farouchement garder par l’impératrice elfe.



Niveau 0 :
Produit des fruit rouge appeler péchés de Faraa, 1D4 par semaine.
Chaque fruit peut être utiliser comme un repas, il restaure de plus 10 pts de fatigue ainsi que 5pv en blessures légère.

Niveau 1 : ( requière sacrifice de 2 500xp – 2 000 pts de fatigue de prières au pieds de l’arbre à raison de 1 par heures )
Produit 3D4 pêches de Faraa par semaine
Produit une sève d’orée appeler essence de vindicte, 1D4 par semaine.
Appliqué sur une arme tranchante elle augmente pour une journée le score de coups critique de 4pts et ceux si bénéficie d’un D4 de dommage supplémentaire.

Niveau 2 : ( requière sacrifice de 6 000xp – 5 000 pts de fatigue de prières au pieds de l’arbre à raison de 1 par heures – sacrifice rituel de 4 Demons serviteur du chaos à ses pieds )
Produit 5+4D6 pêches de Faraa par semaine.
Produit 2D4 sève de vindicte par semaine.
Offre des habitations au sain même de son tronc pour une limite de population de 120.

Niveau 3 : ( requière sacrifice de 10 000xp – 8 500 pts de fatigue de prières au pieds de l’arbre à raison de 1 par heures – sacrifice rituel de 3 Demons mineurs du chaos à ses pieds – 10 dose de pierres de sessiki en poudre ).
Produit 10+6D6 pêches de Faraa par semaine.
Produit 5+2D6 sève de vindicte par semaine.
Offre des habitations au sain même de son tronc pour une limite de population de 250.
Son écorce peut être prélever 1D4/2 dose par semaine, pour réaliser des armures.
Une pièces pour un bouclier, des bottes, des gants ou un casque, trois pour une armure. Cette matière aussi légère que du cuire et ayant une classe d’armure de 8/0 permet de lancer des sort, ne génère pas de malus au déplacement ou à l’habileté et résiste de base à 6/0 à toute racine magique.
Son bois peut être prélever 1D4/2 dose par semaine, pour réaliser des armes, aussi dur que l’acier et léger comme l’air il ne confère pas de malus d’initiative, vit ou hab et permet de fabriquer de base des armes de F 9/0.

Niveau 4 : ( requière sacrifice de 19 000xp – 12 500 pts de fatigue de prières au pieds de l’arbre à raison de 1 par heures – sacrifice rituel de 2 Demons intermédiaires du chaos à ses pieds – 50 dose de pierres de sessiki en poudre – 20 dose de sang de Manao – 5 dose de sang de dragon ).
Produit 20+6D6 pêches de Faraa par semaine.
Produit 10+2D6 sève de vindicte par semaine.
Offre des habitations au sain même de son tronc pour une limite de population de 400.
Son écorce peut être prélever 1D4dose par semaine, pour réaliser des armures.
Une pièces pour un bouclier, des bottes, des gants ou un casque, trois pour une armure. Cette matière aussi légère que du cuire et ayant une classe d’armure de 8/0 permet de lancer des sort, ne génère pas de malus au déplacement ou à l’habileté et résiste de base à 6/0 à toute racine magique.
Son bois peut être prélever 1D4 dose par semaine, pour réaliser des armes, aussi dur que l’acier et léger comme l’air il ne confère pas de malus d’initiative, vit ou hab et permet de fabriquer de base des armes de F 9/0.
Produis de très grandes graine appeler œuf de Faraa 1D4/2 par semaine, qui une foi mûre tombe au sol et ce transforme en Sylvain.
Les Sylvain patrouillent dans la zone de l’arbre pour le défendre, mais l’écorce des graine peut être ramasser pour contrôler un Sylvain.
Dans le tronc de l’arbre un portail s'ouvre c’est le cœur de la larme, il ouvre un passage vers chacune des cinq autres larmes.

Journal d'un jeune Grimsborith

MessagePosté: Mer 5 Aoû 2015 10:37
de Barzul Hirna
17 ème jour du 10 ème mois de l’ère Hirna :

Je semble enfin voir le bout du tunnel.
Depuis le sauvetage de la cité de Dur Ragnikur, les événements ne font que bien s’enchainer.
Je peux enfin libérer mon clan du poids de la surface des hommes à Kieslef et regagner les souterrains de Dur Ragnikur, tant chéris par notre race.
J’ai donné l’ordre de déplacer l’ambassade commerciale ainsi que toute la population basée à Kislef vers la cité Dur Ragnikur.
Peut être que les humains lors de leurs visites se rendront compte des efforts de survie fait par les miens en surface à leur crochet, en ravalant leur fierté ?
Je suis tout de même reconnaissant de leur aide car sans leur accueil les Durodins seraient toujours à la recherche d’un foyer sur les sentiers rocailleux des Zwark.

Toutes ses bonnes nouvelles ne sont pas sans contrepartie.
En effet, la reconquête de cette glorieuse cité n’a pu se faire sans que mon autorité à été remise en cause par une ancienne Perceptrice, Brelïs Kazadine, issue d’une noble famille du clan depuis plusieurs dizaines de générations.
En effet, cette Knurlnien n’a pas trouvé mieux que de requérir un jugement à notre seigneur Utret pour saper mon autorité et contrôler les Durodins ? Nous avons vu comme sa gestion a amené la cité de Dur Ragnikur de plus de 800 âmes à moins de 80 en quelques mois !
S’en est suivi une joute verbale sans précédent depuis mon accession au rang de Grimborith, et j’ai bien cru mon heure arrivée…
Heureusement il aura fallu compter sur la stupidité de cette femme qui tenta d’assassiner la sœur de notre seigneur, Damé, fille de Feu Drong Roi des Nains, dont les charmes me laissent rêveurs. Je suis étonné de l’effet que cette femme a sur moi… Je n’ai cessé de la protéger au risque de me mettre gravement en danger face à un dragon millénaire !! Je m’étonne de mes performances martiales ridicules lorsque cette femme est à mes côtés…
Heureusement que j’ai pu compter sur le soutien de mes amis et compagnons d’armes pour assurer ma position au sein de mon clan et destituer cette fourbe politicienne de Brelîs !
Quelle surprise lorsqu’à notre retour, Brelîs fût déferrée par le conseil des Sages Ingenitum et lorsque la mère de Damé m’a promis notre union dans le futur… J’ai hâte que le temps file et que nos deux clans se rapprochent…

A notre retour j me suis empressé de faire porter mon équipement à Hydriss, chambellan du royaume des terres Australes pour son amélioration.

Jour 16 du 11ème mois de l’ère Hirna :

Depuis le retour du jugement des Sages Ingenitum et de ses bonnes nouvelles tout n’est que réunion avec Dolgarond, intendant à la protection du royaume, proposition d’améliorations des villages pour leur protection, rapport sur les récoltes qui vont arriver en espérant qu’elles soient bonnes et proposition d’expansion par Torrok « Sceptre de Fer » qui propose de nouvelles relation commerciales…
Je suis las de ces réunions avec les dignitaires du clan…
Mon esprit ne pense qu’à mon équipement qui me sera bientôt livré et à la mission de reconnaissance confiée à Magnam et 2 groupes de soldats sur les traces des insurgés de Dur Ragnikur. J’espère qu’ils reviendront avec suffisamment d’informations sur tous les villages et mines historiques du clan.
Ma rêverie est interrompue par un message venant du groupe de Magnam, qui semble être sur la piste des insurgés de Dur Ragnikur qui, d’après les indices récoltés, semblent mener une guérilla contre les forces ténébreuses des environs…
Alema Arûna leur retour sains et saufs, l’armée ne serai pas contre une vingtaine de soldats d’élite pour grossir ses rangs.
Puis une fois le message lu, je me fais querir par le Sergent Broedel qui m’explique que les soldats me demandent sur la place du village. Que peuvent ils bien me vouloir ? Seraient ils déjà de retour ?
Une fois sorti, toute l’assemblée m’attend pour m’offrir Uruk Draemontar, ce Fier Argoth dressé et équipé de plaques complètes pour la guerre, avec lequel mon rôle de Grimborith ne peut être oublié.
De plus, à coté de lui se trouve la femme en bleu, toujours accompagnée de la jeune fille, messagère de Lyham, m’apportant mon équipement fraichement révisé par Maitre Hydriss.
Je me sens heureux à nouveau de retrouver l’héritage de mon père qui semble briller d’une force nouvelle.
Akh sartos oen dûrgrimst!
Que de surprises pour mon anniversaire. Je m’endors en rêvant au nombre incalculable d’énemis que je fendrais avec ma hache sur le dos d’Uruk…

Jour 21 du 11ème mois de l’ère Hirna :

Quel bonheur de revoir Magnam et les soldats de retour de leur mission de reconnaissance !
Après avoir rapidement fait le tour de l’effectif, je me rends compte que certains hommes sont tombés pour la glore d’Alema sur le champ de bataille.
Au combat ? N’était ce pas une mission de reconnaissance ??
Je remercie Alema de leur retour et guide Magnam dans la salle de réunion dans les profondeurs de Dur Ragnikur.
Après quelques heures de débrifing, celui ci me confie qu’avec ces deux groupes de fiers soldats il a réussi à reconquérir la quasi totalité des villages et mines historiquement aux Durodins. Qu’elle en fût ma surprise !!
Voilà que mon clan compte désormais plus de 500 âmes et les comptes sont florissants.
La récolte s’annonce suffisante pour nourrir tout ce monde, et les mines récupérées à l’ennemi nous assurerons un revenu confortable durant de très nombreuses années.

Je félicite Magnam en lui tendant une chope de ma meilleure bière brune.
Cette semaine est définitivement la plus belle de toute l’année. Je décide d’organiser une fête en l’honneur de notre armée qui revient de cette campagne largement victorieuse et expérimentée.

Enfin notre clan sort la tête de l’eau, les finances nous permettent de payer tout le monde à la hauteur des sacrifices fournis depuis près d’un an et nous semblons plus prêt que jamais pour en découdre avec les forces démoniaques.
Alema Arûna Magnam et ses hommes, que l’année prochaine soit aussi fructueuse.

Jour 23 du mois 1 de la 1ère année de l’ère Hirna :

Les festivités ont duré plus de 15 jours, ma tête est embrumée par la bière qui perfuse mes veines depuis tout ce temps.
Une fois lavé et mes esprits retrouvés, je vais pour me restaurer et sur ma table de chevet a été porté un message venant de Jahrasterim portant le sceau du Roi.

Je m’empresse d’avaler quelques restes de cuisse d’argoth arrosé d’un reste de bière brune en guise de petit déjeuner, seing mon armure, ma couronne et attache solidement ma hache étincelante dans mon dos. En m’observant rapidement dans la glace de mon appartement je me dis « Tu ressemble vraiment à un grimsborith avec cette couronne, Damé serai surement impressionnée … »
Je semble briller d’une lueur étrange, comme si Alema elle même n’avais touchée du doigt.
Sans quitter mes pensées, je plonge la main dans ma bourse de runes et me transporte en direction des portes de la capitale du Royaume de Jaraa pour être présent à la réunion des 4 couronnes de lumières avancée d’une semaine sous prétexte d’une urgence… Je demande de quoi il peut bien s’agir.
Je franchi les portes de la ville et n’ai qu’une hâte, retrouver Lord Lyham et le remercier pour le travail fabuleux de son chambellan. Je me surprends à espérer secrètement que l’urgence soit des hordes à décimer avec mon nouvel équipement …


Extrait du journal du Grimsborith Barzul Hirna

Journal d'un jeune Grimsborith

MessagePosté: Ven 16 Oct 2015 09:34
de Barzul Hirna
Jour 7 du Premier Mois de l'An 1 de l'ère Hirna :

Je suis heureux d'avoir rapatrié les miens sous la protection des épais murs de notre cité de Dur Ragnikur...
Mes pensées précédentes ne pouvaient être plus exactes.
En effet, la réunion de crise avait pour objet l'invasion des hordes de morts vivants sur la cité de Kieslef. Mon souhait a été largement exhaussé, j'ai pu étrenner mon nouvel équipement forgé par Maitre Hydriss, et qui m'a apporté un grand soutien lors de cette bataille.

Après près de deux semaines de siège, la cité est malheureusement tombée aux mains des ténèbres.
Heureusement que j'ai pu condamner l'entrée du tunnel... Tant de mois de travail acharné par mon peuple réduit à néant en quelques heures ... Ilf carnz orodüm Durodin ...

Heureusement le soutien de l'armée royale d'Isarn est arrivée en soutien, maisil semble que ces généraux ne lui sont pas des plus fidèles. Quelque chose me dit qu'il ne fait pas l'unanimité dans son royaume...
Le baron des terres du nord, ce Sheilven illuminé, n'a pas appliqué les ordres de son seigneur et roi, et celui ci, sans notre aide, reposerai parmi les anciens sous la pierre...

Avant notre retraite glorieuse, nous avons toutefois assisté à un spectacle étrange. Des créatures éblouissante et éthérée sont apparues, et semblaient s'attaquer aux forces démoniaques, mais sans réel ordre de bataille. Grâce à leur intervention, nous avons pu profiter de la pagaille générale pour nous éclipser.

Je me demande qui peuvent être ces créatures et quelles sont leurs origines ... Elles se sont même attaqué à ce Maitre Paladin, également frère d'arme nommé Faidhéra, fervent défenseur de la lumière.
Ceci me dépasse totalement. je vais faire part au prètre d'Aléma mes interrogations à ce sujet, peut être aura t il une réponse a m'apporter ...

Pour terminer sur une note réjouissante, je suis fier de pouvoir compter sur les capacités commerciales de mon Oncle Karan, qui grâce à Alema, a réussi à relancer le commerce dans la cité de Dur Ragnikur, et des villages récupérés . Désormais, les caisses du trésor du clan débordent et nous pouvons voir d'un excédant budgétaire...

Re: Journal d'un jeune Roi

MessagePosté: Mer 13 Sep 2017 14:43
de Faidhera
La sueur perlait et ruisselait sur son font et ses tempes, collant sur son visage ses épais cheveux noir.
Lentement pas après pas il gravissait les marches, croulant sous le poids de sa charge. Ses genoux beaucoup trop sollicités grinçais presque autant que les marches de bois qui le conduisait au vacarme plus haut.
<Ce foutu métier aura ma peau si les morts ne me chope pas avant !> Se dit Samwell.
D’un coup de hanche bien placer il ouvrit la porte et pénétra dans le tumulte et la fumer de la pièce principale de son auberge, posant dans son élan l’énorme fut de bière qu’il venait de remonter de la réserve.
Gérer une auberge n’était pas si difficile pour lui quelque soit l’endroit où il avait exercer, dans les rue paver d’une capitale, perdu sur les lignes de front de la guerre sainte ou loin dans les colonies d’un nouveau monde plein de danger, Samwell connaissait la règle d’or pour survivre et prospérer.
Ne jamais remplir une chope sans avoir vu les doux reflets de la monnaie.
Il aurait pu être Nain dans une autre vie mais pour le moment il avait une armée de soiffard à satisfaire et quelques pièces de plus à collecter.
Presque toute les place était prise, comme d’habitude. Il fallait bien avouer que les distractions dans une cité en cour de construction étaient peu courantes, surtout quand celle-ci se trouvait a plus de 600 lieux de toute civilisation.
Aussi chaque soir il voyait affluer dans son établissement, ouvriers, paysant de passage et biensure la garde, tous avide de noyer leurs fatigue, leurs ennuis et leurs craintes dans des litres de houblons fermenter.
Samwell se saisit de la tireuse et perça le fut pour l’y fixer. Quand il en tira l’écume une voix l’interpela.
-Par la foutue queue fourchue de Khalaas, je vois que tu m’apporte mon remède docteur !
Rempli donc mon pichet, que j’apaise mon âme.
L’homme emmitouflé dans un manteau de lin épais à capuchon était avachi sur son zinc, si pitoyable qu’on aurais cru que seul son godet, au quel il s’agrippait avec fermeté l’empêchait de s’effondrer au sol.
Samwell en avait vu des comme lui en plus de vingt ans d’exercice mais chaque fois il ne pouvait s’empêcher d’éprouver du dégoût pour ces ivrogne pitoyable, brisé par une vie qu’ils jugeaient à n’en pas douter trop dur pour eux.
Par la déesse comme si la vie avait été simple pour lui ! Et pourtant buvait-il sa recette en s’apitoyant sur son sort ? Des cafards sans la moindre estime ou parcelle de volonté Voila ce qu’ils était en vérité !
Ces meilleurs clients pourtant, enfin tant que ceux-ci pouvait payer.
-Bien entendus cher ami, je suppose qu’il te reste cinq pièces de fer, tu connais les règles de la maison.
Le tenancier affichait un sourire commercial qui ne laissa rien paraître de son opinion personnel, tendant la main gauche pour récupérer son dû pendant que l’autre remplissait le pichet.
-Plus sur moi, mais envoye ta note demain au Seigneur Interlothard et tu serra dédommager sur l’heure.
D’un geste Samwell stoppa son service, puis posa le pichet à moitié remplie sous le comptoir, avant de repartir en salle pour s’occuper des vrais clients.
-Désoler mon gars mais si tu n’a pas de licornes, tu ne bois pas c’est aussi simple que ça !
Mue par ce qui semblait être un réflexe de désespoir l’homme le saisit par le bras quand il passa à son côté, tournant son visage toujours dissimulé par son manteau vers lui.
-Tu ne comprends pas taverniers seul ton élixir peux apaisé la souffrance de…mon âme.
Ce derniers mots lui arracha un rire forcé.
Agacer, le tavernier tenta de ce défaire de son étreinte mais le bougre avait de la poigne, surtout pour un homme aussi ivre qu’il l’était.
La fatigue n’aidant pas son sang se mit à bouillir
-Ton âme je m’en contre fou ! Ici les gens de ton espèce ne son tolérer que s’il possède de la bonne monnaie sonnante et trébuchante pour s’offrir mes bons services.
Maintenant paye ou fou moi le camp !
À ces mots la prise sur Le bras de Samwell se fit plus fort, lui arrachant une grimace.
Ce foutu poivrot allait lui briser s’il continuait à serrer.
Les mots qui sortir de la bouche de son tortionnaire furent calme, détacher, sans plus l’ombre de la moindre ivresse dans leur ton.
-Sais tu au moins à qui tu refuse ta bière ? Mon…ami.
Le visage tordue par la douleur à son bras, Samwell cherchât tout d’abords de l’aide en observant la salle mais, si la plus part des clients avaient interrompu leurs discutions, conscient de ce qui ce passait.
Aucun ne fit mine de vouloir bouger, tous impressionnés par la carrure de son agresseur qui lentement c’était redressé sur son tabouret.
Même les deux membres de la garde assis près de l’âtre de la cheminée, ne bougèrent pas.
Échangeant de longs regards plein de sous entendus plutôt que de lui porter assistance.
-Je t’ai posé une question, tavernier. Par la déesse et sa foutue chante doré, dis moi petite chose qu’est ce qui pourrais bien m’empêcher de boire toute ta réserve si je le voulais ?
Hein ? On dirais que tu a perdu de ta verve.
La colère commençait à monter en lui, alors même que son manteau tomba sur ses épaules révélant son visage buriné par les années de combat.
Le sang de Samwell se figeât quand il pris conscience de son erreur.
-Je….je suppose que rien mon seigneur. Je …je vous demande pardons, Je n’avais pas réalisé…à qui je m’adressais.
-Oh, je ne suis plus ton gars ? Et tu me donne du, mon seigneur maintenant ?
Tu vois pauvre petite chose fragile pour moi vous êtes tous les mèmes de grands airs, pavoisant à l’abris de vos cité, mais vous liquéfiant, appelant à l’aide chaque fois que le danger rôde.
Incapable que vous êtes de veiller sur vos propre existence ! Implorant le sacrifice de héros pour vous permettre de vous rouler un peu plus encore dans la fange qui vous a vu naître et qui vous reprendra sous peu !
Le ton du géant n’était plus du tout calme et posé, chaque mots qui sortait de sa bouche ne faisait plus qu’alimenter une rage trop longtemps contenue et qui désormais ce déversait sans aucun contrôle contre lui.
Certains clients quittèrent les lieux avant que cela ne dégénère vraiment.
-Je…je suis…vraiment désoler mon seigneur. Je vous avais pris pour….
-Je sais très bien pour quoi tu m’as pris misérable cloporte ! Et je sais encore pour qui tu me prends désormais mais j’ai le regret de te dire que la encore tu te fourvoies petite chose.
Un sourire bestial s’affichât sur le visage du géant, alors que celui-ci relâcha prise.
Samwell n’en fut pas rassurer pour autant et ce sourire ne fit que conforté ses craintes.
-Va et rapporte moi ta meilleure bouteille de liqueur ainsi que ma chope, je l’ai mérité tu ne crois pas ?
-Oui biensure, vous ne serrez pas dessus je vous l’assure. J’ai cueillie et fermenter moi-même ces..
-Ta vie ne m’intéresse pas cloporte seul ton remède éveil en moi le désir.
À ces mots Samwell se tue et s’affairât de plus belle pour servir le géant.
Apres lui avoir déposé une chope pleine de bière, ainsi que la bouteille d’eau de Kalderas il s’apprêta a lui en servir un vers, mais celui-ci lui arrachât des mains et bue une bonne rasade avant de reprendre sa discutions en prenant bien soin de plongé son regard dans le sien.
Samwell avait soudain l’impression que l’homme pouvait lire en lui comme dans un livre ouvert, son regards inquisiteur traversait ses chaires jusqu’à son âme ce qui le pétrifia littéralement.
-Alors comme ça tu a compris ta méprise et tu pense savoir qui tu sers en ce moment. Mais dis moi qui crois tu servir ? La liqueur avait visiblement chasser la rage du géant ce qui ne rassura pas pour autant le tavernier.
-Vous êtes le seigneur Faidhera, général et champion dû royaume. Répondit fébrilement Samwell.
Vous nous avez guider jusqu’à ces terres avec notre bon Roi Lyham, et vous nous avez sauvez de…
Faidhera hurla de rire et abattit à plusieurs reprise son poing massif sur le zinc, ce qui fit vibrer jusqu’aux lames de plancher de l’établissement.
Son fou-rire ne paru pas pouvoir s’arrêter alimenter par ces propre paroles.
-….et je suppose que je suis aussi…….le putain de champion de la lumière !
…le juste bras armée punissant les sombres……et bouclier implacable des faible et des bien heureux !
Son rire parti de plus belle.
-Fils béni pas cette catin de déesse, …. Et quand je lâche un vent, les champs de fleures éclosent et les récoltes son béni par cette saloperie de lumière ?
…c’est ça hein ?
Ne sachant quoi répondre, Samwell préféra garder le silence. Sa taverne était vide à présent et il savait qu’une nouvelle erreur pouvait le précipité vers une fin aussi douloureuse que tragique.
Le sérieux du géant revint aussitôt, une lueur mauvaise brillait dans ses yeux.
-Tu me prends pour ton héros, tu pense que je vie baigner par la félicité infini de ta déesse ?
J’ai une mauvaise nouvel pour toi cloporte. Les anges d’Illenia sont venu et leur jugement à été sans appel, il n’y aura pas pour nous de place dans son doue giron ! Nous sommes tous née du pêché et aucune rédemption ne saurais nous être accorder.
Comprends tu ? Que tu vive du sacrifice du juste ou que tu sois le pire pervers de ce monde, elle n’en a cure !
Nos actes non aucune importance, cette vérité aussi cruelle qu’absurde tu dois la comprendre et vivre avec comme je le fais désormais !
Samwell aurait voulut répondre, mais de sa bouche ouverte et tremblante rien ne pu sortir.
-Comprends tu maintenant la nécessiter absolue de ton remède, misérable, et de ton destin funeste si jamais à l’avenir tu décidais de m’en priver ?
-Cela suffit !
Les mots avaient claqués dans l’air comme un coup de fouet.
Le regards du gérant se portât sur l’autre homme qui venait de rentrer dans son établissement.
Mais le géant ne bougea pas, cette voix il ne la connaissait que trop bien.
L’homme au cheveux roux, en haute chausse de cuire noir et pourpoint lui fit signe de quitter les lieux.
-Rentre chez toi tavernier je m’occupe de mon ami. Demain passe à mon bureau de l’hôtel de ville et tu recevra un dédommagement pour la boisson et ta discrétion sur cette affaire.
Samwell s’inclinât avant de disparaître par la porte de service. Trop comptent de pouvoir s’échapper.
-Biensure mon Seigneur !
Le géant tendit la bouteille d’eau de kalderas déjà bien entamer en guise d’invitation à le rejoindre.
-Tu as déjà assez bu Faidhera. Il est temps de rentrer. Le ton avait été péremptoire.
Celui-ci bu une nouvelle rasade pour signifier sa désapprobation avant de répondre.
-Je suis assez grand pour savoir quand j’ai assez bu ou non hydris, tant que mon âme pourra encore me chuchoter le moindre doute à l’oreille je continuerais.
Le rouquin avança pour se placer à ses côtés.
-Je sais ce que tu espère trouver dans ton breuvage, mais la mort de cette façon est bien longue à venir mon amis.
-J’ai tout mon temps.
-Et si je te disais qu’une opportunité bien plus rapide et distrayante s’offrait à toi ?
Le géant le dévisageât.
-Un corbeau viens d’arriver de Jahraa, le Roi veux nous envoyer en mission dans les terres de l’ombre, pour reprendre aux ténèbres quelque chose qu’elle ne devrais pas avoir.
Le visage du géant s’éclairci.
-Nous seront près du portail des enfers ?
-Assez pour sentir le cul de son maître. Répondit l’autre en souriant.
Carnage, souffrance et mort assurer !
Faidhera sautât sur ces jambes manquant de basculer sous l’effet de l’alcool.
Puis il se dirigeait vers la sorti d’un pas mal assuré.
-Allez viens camarad, ne manquons pas notre rendez vous avec notre perte !

operation destruction

MessagePosté: Jeu 2 Nov 2017 16:13
de Faidhera
Les premiers rayons du soleil dardaient déjà à l’horizon, peignant la campagne Jaarienne d’or et d’argent. Ce spectacle aurait pu être magnifique si seulement ce satané vent ne lui portait pas les larmes aux yeux.
Mordant, assourdissant, d’une puissance qu’il n’avait encore que rarement pu observer, le vent ne l’avais pas quitter depuis qu’il était descendu de sa monture. Il s’infiltrait partout dans son armure la faisant sifflée comme si elle possédait sa voix propre, plaquant ses cheuveux contre son visage, l’empêchant presque de respirer.
D’un rapide coup d’oeil en arrière il vérifia que ces compagnons le suivait toujours. Leur formation était légèrement dispersée, mais cela ne devrait pas poser trop de problèmes à leur arrivée, si dû moins il ne se rompaient pas le coup a l’atterrissage !
Sa main gauche caressait doucement la rune de ralentissement qu’on lui avait confier avant qu’il ne se jette du treplen quelques instants plus tôt. La puissance de la tablette d’argile devait être relâcher au bon moment, trop haut elle ne durerais pas jusqu’au sol et sa chute reprendrais de plus belle, trop tard elle ne le ralentirait pas suffisamment.
Dans les deux cas le sol serrait sûrement la dernière chose qu’il toucherait dans cette vie.
Poursuivant sa chute libre, il observât cette fois l’épais brouillards qui recouvrais la lande cents pieds plus bas.
« Saloperie avec cette purée de poids pas moyen de savoir où ce trouve le sol ! »
Il devais trouver un moyen, savoir quand actionner la rune ou tout serrais bientôt fini.
Derrière lui Cornelius hurlait quelque chose qu’il ne comprit pas avec le vent, mais le ton du mage était clairement tendu.
« Aller ! Réfléchie bon sang ! Comment faire pour voir à travers cette brume comment faire pour savoir à quel altitude nous somme… »
La brume n’était plus qu’a une vingtaine de pieds et ils chutaient toujours aussi vite.
« Comment voir ? Comment savoir ?...BIENSURE ! »
Faidhera dégaina son épée avant de là projeter de toutes ses forces vers le brouillard sous ces pieds.
Plus haut Furion qui assistait à la scène ce demanda un instant si la liqueur n’avait finalement pas eu raison de l’esprit du géant.
L’épée à deux main du chevalier disparue comme une flèche dans la brume.
Faidhera attendait, fermant les yeux pour mieux déceler le signe qu’il espérait.
Celui-ci ne tarda pas à veni, quand les deux mètres d’acier de sa lame se fichèrent dans le sol rocailleux plus bas, l’impact fut si puissant que même ses camarades comprirent ce qu’il venait de faire. Aussitôt les quartes compagnons brisèrent leurs tablettes, libérant tout le pouvoir des runes de ralentissement.
Et cela ne fut pas trop tôt, soudain retenue dans le ciel par un main invisible leur chute ne cessa toutefois pas instantanément, tant et si bien que lorsqu’il touchèrent le sol quelque secondes plus tard tous roulèrent manquant de peux de se briser les os.

Barzul qui avait sauter le dernier et avait donc bénéficié d’une distance de freinage plus grande se relevait déjà époussetant son armure en râlant.
-une approche discrète c’est bien ce qu’ils nous avait vendu ? Par les cornes de Khaalas je suis certain que le plâtre de mes appartements de Dur Ragnikur est tomber après le séisme que nos quatre putain de culs viennent de déclencher !
Je ne vais pas pouvoir m’asseoir avant une semaine !
Son regard se porta sur ses frères de mauvaise fortune, Cornelius visiblement meurtri massait son genoux droit, Furion qui avait eu moins de chance se débattait afin de s’extraire du fourré dans le quel il venait d’atterrir, il y avait visiblement eu, plus de peur que de mal.
Son regard se portât ensuite à quelques dizaines de pas sur sa gauche sur son dernier compagnons.
Étaler de tout son long au bas d’une colline herbeuse, le visage dans la boue le corps du géant était agité de spasme étranges.
Cornelius inquiet, courrais déjà vers lui pour lui prodiguer les premiers secours.
-Faidhera ! Faidhera est ce que ça va ? T’es tu blessés ?
Lentement, toujours agité de soubresaut le paladin pris appuis sur un bras, puis sur l’autre avant de relever la tête de la flaque ou elle se trouvait.
-Hahaha, ..hahaha…oohhh putain ! Quelle entré mes amis !....oohohoh ….hahaha si les démons avaient été la ils serraient déjà mort …de rire !
Cornelius s’arrêta net dans sa course, perturbée par le comportement du chevalier.
-a-t-il reçu un coup à la tête ? Demandât-il en se retournant vers le reste du petit groupe.
Barzul se contenta de sourire en haussant les épaules, Furion posa quand à lui sa main dans le dos du mage.
-Non, il est juste encore ivre. J’imagine que la chute et l’air frais n’auront pas suffit à l’en délivrer.

Après avoir remis le géant sur ses pieds et consulté la boussole du nain, le groupe chemina aussi silencieusement que cela était possible, vers les ruines plus au sud et leur destination.
Ils avaient une mission à accomplir et le temp jouait contre leur camp.