Avènement de la version 3.0

[Faidhera]

Ce sujet a été mis en place par le staf pour vous mètre l'eau à la bouche.
L'ensemble de l'équipe étant désormait disponible nous allons pouvoir vous proposer d'ici quelques mois une version
3.0 d'Utopia
Et affin de vous livrer petit à petit les secret qui feront de cette nouvelle version une révolution aussi bien au niveau du jeu que de son univers, nous allons régulièrement poster ici de petit texte pour vous maitre en appétit.

Il est demander au joueurs de ne pas répondre sur ce topic mais d'utiliser les bavardages de comptoir, afin de ne pas le pollué merci.

[Faidhera]

L’astre solaire projetait leurs ombres déformées presque jusqu’aux ruine de Misios.
La tapis à l’abris de la végétation, les 5 attendaient patiemment la tombé de la nuit.
Galadriel resserra son emprise sur la pierre au reflets améthyste, le fragment du cristal de pouvoir que lui avait confier sont maître rayonnais avec une telle force entre ces doigts, qu’il lui semblait pouvoir sentir la magie pénétrée dans ces veines.
Au loin le hurlement d’un loup le rappela à la réalité du moment.
Lançant un regard inquiet aux alentours, il s’agenouilla à l’abri du buisson derrière lui, une main sur le pommeau de son épée, l’autre tenant avec plus de fermeté et de détermination encore le cristal magique.
Les secondes passèrent aussi lentement que des années, sans que rien ne dérange la scène qui se préparait à être joué.
Un instant il lui semblait qu’Utopia elle même retenait son souffle, sachant que ce qui allait suivre modifierait profondément son équilibre et la vie de tous ceux qu’elle abritait.
Ce n’était probablement rien, déjà deux lunes c’était levé alors que le soleil lutait encore pour quelques instants gagner a la nuit, c’est ce phénomène astral qui devait exciter le canidé.
Une fois par siècle lui avait révélé son maître, il faudrait attendre plus de cents ans avant qu’un tel alignement ce reproduise !
Dans quelques heures, le soleil aura laissé son royaume céleste aux lunes et celles-ci formeront dans le ciel, juste au dessus des ruines un alignement parfait.
C’est à cet instant qu’ils pourraient agir !
Galadriel délaissa son épée pour caresser nerveusement la croit qu’il portait autour du coup. Le contacte avec ce simple morceau de métal semblait le rapprocher de sa déesse, il l’avait jusque la toujours apaisé.
Le regard perdu sur l’horizon, les traits tendus, Galadriel chuchota.
- Puissiez vous nous accorder la force d’accomplir notre tache, et votre pardon pour ce que nous allons libérer…

[Faidhera]

L’infusion aux écorces noire, remplissait dans un fin et précis filet fumant, la tasse en porcelaines sur le plateau.
Le geste du majeur d’homme, que vingt huit ans au servis de la famille Arlthon avait rendu sure et machinale, s’arrêta au moment précis ou la tasse de son maître était pleine.
Ni trop, ni trop peu, elle ne contenait la quantité exacte désirée par son Seigneur.
Sans laisser transparaitre la moindre émotion sur son visage ridé et sévère, celui-ci déposa les deux tasse qu’il venait de remplir sur la petite table en édlite du salon, puis plaça juste à coté d’elles le service à sucre familiale ainsi que deux petites cuillères en argent.
Enfin le regard fixé au plancher de la pièce, il demanda d’une voix monocorde.
-Mon Seigneur désir-t-il autre chose ?
Debout à l’autre extrémité de la pièce, Sir Godrik Arlthon ne pris pas même la peine de se retourné. Il avait toute confiance dans le savoir faire de son fidel majeur d’homme, et avait de toute façon d’autre préoccupation que le Thé et ses civilités.
-Non merci Joefroïd, vous pouvez disposer.
-Bien Mon Seigneur.
Le vieux serviteur saisi le chariot de service et se dirigea vers la sorti avec la même dignité et le même savoir faire que pour le service qu’il venait de réalisé.
-Ah ! Et Joefroïd, veillé à ce que nous ne soyons pas déranger. Le Professeur Farve et moi même avons de sérieuses affait à régler.
-Bien sure Mon Seigneur, je fais prévenir votre garde immédiatement.
Tendant la main pour se saisir d’une des tasses fumantes, le Professeur Benjamin Farve adressa un petit signe de remercîment au serviteur, avant que celui-ci ne disparaisse en fermant la porte derrière lui.
Sir Godrik se détourna de la fenêtre avec un mouvement d’énervement, et vin se saisir, lui aussi d’une des tasse d’infusion.
-Vous m’avez l’air contrarier Sir Arlthon, est-ce la délégation d’Etamis qui vous tourmente de la sorte ? Déclara le vieux professeur en plongeant machinalement un second sucre dans sa tasse.
-Et comment ne pas l’être Benjamin ! Je suis malade devant tant de mondanité, comment ne pourrai-je pas l’être alors que notre Roi festoie et fanfaronne devant ces étrangers, et qu’à quelques dizaine de lieux seulement son armée se meurt pour la défense de nos frontières !
J’en rage mon amis.
Comme pour donner plus de poids encore a sa déclaration, il jeta le sucre dans sa tasse renversant au passage quelques goutes sur son fauteuil en cuire.
-Je comprends l’hardiesse du soldat que vous êtes, mais ses étranger nous on permit lors de la guerre verte de trouver abris et place forte pour préparer notre contre attaque.
Jamais notre victoire contre la horde alors n’aurais été possible sans leurs soutien, et nous ne serions vous et moi surement plus capable d’en débattre à l’heure actuel.
Aujourd’hui c’est eux qui subis les aléa du destin, il serait déshonorant de leur tourné le dos. Quand a l’armée du Roi qui peut mieux qu’elle assurer notre protection contre les ténèbres du sud, et le chaos qui nous guette à l’est ?
-Ha, fourberie que tous cela ! Il n’est nul chaos qui rode sur les terres de l’est, seul le portail des ténèbres et le flot incessant des abominations qu'il vomit sur nous nécessite la force de notre armée ! Le chaos est quand à lui depuis bien longtemps dans nos citées, machination, corruption et jeu de pouvoir, voila ce que le chaos à engendrer pour le royaume.
Et les nobles ! Reliques ventripotente d’un passer militaire glorieux, ou sans l’aide des l’alliance nous aurions servis d’esclave aux Orks de la Horde !
Le ton du seigneur était monté au même rythme que celui-ci se relevait de son siège.
Il posa la tasse qu’il n’avait toujours pas touché sur son bureau, avant de caresser l’épée de commandement qui trônait dessus, et de poursuivre.
-Veiller pardonner ma passion mon amis, mais tous ces récent évènement accable mes pensé depuis des semaines, mon frère pourris avec sa cavalerie sur le front de l’est alors que hier encore le Capitaine Malorie a subis de lourde pertes en donnant l’assaut sur le portail.
Le vieux professeur termina sa tasse et pris le temps de la reposer délicatement sur la table avant de répondre.
-Je vous comprends Sir, mais vous ne pourrez rien y changer. Vous n’êtes pas Roi.
La main de Sir Godrik Arlthon appuya encore un peut plus sur la lame de l’épée, la pulpe de son index explosa laissant couler de petite perle écarlate sur la lame.
Il sourit.
-Oui comme toujours vous avez raison Benjamin. Alors revenons a des sujets qui sont pour le moins encore a notre porté.
Avez-vous progressez dans vos recherche ?
Si le ton du noble avait été plus civil que réellement intéressé, l’excitation soudaine du veille homme de science ne faisait aucun doute.
-Oui, oui Messire. Mes récentes recherches dans les bibliothèques de l’ordre de la vérité absolu et du poing d’argent me confortent dans ma théorie. Si mon prochain voyage en terre elfique venais a confirmé ses information, …
Le savant pris le temps de pesé chacun de ses mots avant de poursuivre. La science était passionnante mais elle ne laissait pourtant pas la place à la passion, rigueur et précision seul pouvait apporter la vérité.
-… ce serait alors tous les textes d’Ulrick Malangard qui serait remis en cause !
L’histoire du monde et la Théologie telle que nous les connaissons changerait a jamais !
Sir Arlthon fixait l’archéologue en suçant sont doigt baisser.
-Je vois, et en ce qui concerne notre petite expérience dans les ruines de Misios ?
-Le commando doit déjà être sur les lieux mon Seigneur, nous serrons vite fixé.

[Faidhera]

La salle comme toujours était bondée.
L’écho du brouhaha de la foule, baignait l’immense pièce de la base des colonnes jusqu’au sommet du dôme près de vingt pas au dessus.
Par les énormes ouvertures du coté droits, les rayons carmin du soleil couchant pénétrait pour plonger la scène dans une étrange atmosphère, ou toutes les tapisseries, peintures et autres statues, qui glorifiaient le règne bienveillant de leur souveraine, semblaient en feu.
Placer au huitième et avant dernier étage du palais impérial, la salle d’audience offrait une vue imprenable sur l’île interdite et l’océan des tumultes qui l’entourait, cependant aucun des acteurs présent n’y accordait son attention. Depuis trop longtemps focaliser sur leurs propres doléances, les nobles des familles Elfiques, ne prenaient plus le temps de ce réjouirent de ce superbe spectacle.
Par bien des aspects l’impératrice regrettait que son peuple se rapproche tant du comportement de ces rustres d’humain.

- …et c’est pourquoi votre altesse je vous demande de bien vouloirs nous dispenser de cette taxe pour cette année, de façon à pouvoir dès aujourd’hui lancer la construction d’un second village.
Rappeler à la réalité de l’audience qu’elle présidait l’impératrice observa le seigneur Elfique Narë Ineel, puis sans dire mots elle se détourna vers son conseiller, le grand prêtre d’Alséa Palel Elnatil qui se tenait debout à coter du trône.
Celui-ci semblait écouter les pensée de sa maîtresse, avant de s’adresse dans ces mots, au Maître de la maison des Ineel.
- N’est-il pas vrais Narë que la réalisation d’un second étage à ton arbre maison suffirait amplement à résoudre cette crise du logement dont tu nous as parlé ?
Le seigneur Ineel s’empourpra avant de répondre.
-Oui certainement conseiller, mais le pro…
-N’est-il pas aussi exacte qu’un village humain se trouve tous près de ce site que tu désir aménager ?
Le noble ne pu répondre.
-L’impératrice espère que ce n’est pas la recherche de profit qui a guider ta demande, elle en serrait profondément dessus.
-Non ! Bien sûre conseiller, il se trouve que je n’avais pas envisager l’option d’un autre étage, c’est…
-Nous voila rassuré Narë, ainsi sa glorieuse majesté viens de te donner la solution. Tu réalisera un second étage, de cette façon la faune de la vallée des échos ne serra pas troublé par tes travaux, les humains resterons à leur place, loin de notre peuple et tu pourra t’acquittée de la moitié de ta taxe.
Un grand nombre de moqueries et de rires étouffé s’élevèrent derrière lui.
Empourpré jusqu'à la pointe de ses oreilles le seigneur remercia l’impératrice par une révérence avant de s’engouffrer et de disparaître dans la foule.

Le conseiller Elnatil, plongea une nouvelle fois son regard dans celui, fatigué par des heures d’audience et de doléance futile de ça maîtresse, avant d’annoncer d’une voix forte.
-Son altesse entendra encore une affaire avant de ce retirer ! Que l’on face entrer l’émissaire suivant !
Aussitôt la foule se tue et les deux grandes portes au bois gravé de représentations de la genèse d’Utopia s’ouvrirent, laissent apparaître un Elfe d’un age avancer, dont la chevelure argentée par le poids des années de sa vie terrestre tombaient avec grâce sur une tunique jade et or.
Tous le monde le reconnue dans l’instant, il s’agissait de l’ambassadeur Terin Elildiel, représentant des affaires de l’empire sur le territoire humain de Seils.
L’ambassadeur était un Elfe respecter, car sa tempérance et la qualité de son jugement avait plusieurs fois déjà résolut de sérieux problème politique, opposant les Elfes aux autres races d’Utopia.
La foule s’écarta laissant un chemin dégager à l’ambassadeur pour rejoindre le trône de l’Impératrice.
Celle-ci qui avait toujours porté une grande tendresse à son sujet, ajusta sa position sur son trône, quittant la léthargie dans la quelle l’ennuie des rapports et demandes des précédents auditionnés l’avait finalement plonger.

Terin Elildiel avança jusqu’au plus près de l’impératrice puis s’agenouilla avec grâce, baissant la tète et attendant en silence l’autorisation de s’exprimer, comme le voulait l’usage.
Le conseiller Elnatil ne perdit pas un instant avant de lui faire signe de se relever.
-Notre maîtresse est heureuse de te revoir Terin, heureuse et impatiente d’entendre les nouvelles de l’est. Dis nous ce que le vent murmure dans les contré de l’empire des homme de Seils, nous t’écoutons.
En effet pour la première fois depuis l’ouverture des audiences quelques heures plus tôt, le silence avait repris ses droits dans la grande salle.
Chacun était friand des histoire exotique que les ambassadeurs rapportaient de leurs voyages, mais ce qui rendait plus excitant encore le future récit de Terin, c’était que celui-ci avait reçu deux ans plus tôt, la mission de leur souveraine, de ce rendre en Seils pour convaincre les hommes de ces régions reculer, de stopper l’asservissement des troll qui alimentaient l’infanterie engager dans une guerre stupide, contre l’empire voisin.

L’impératrice fixait sans un mot son fidèle serviteur, son visage éclairer d’une tendre bienveillance.
L’ambassadeur plongea son regard dans celui de celle qu’il avait toujours servi, envoûtée par la douceur de ses trait et la beauté de son visage, il lui semblait qu’elle n’avait jamais changer, comme si le temps lui même se refusait a salir de son insidieuse labeur, la pureté de cet être angélique.
Reprenant constance, il organisa brièvement ses pensées avant de répondre.
-Les nouvelles majesté, je le crains ne sont pour le moins mauvaises.
Les sourcils, ainsi que tout le visage de la mère des Elfes se froncèrent, attendant comme à son habitude la suite du rapport dans un silence parfait.
-Le conflit entre les empires d’Etamis et de Seils, n’a pu trouver malgré mes nombreuses réunions de déboucher pacifique. Les souverains humains de ses régions refusent d’entendre raison, et le sujet initiale de leur différents, à savoir la souveraineté de l’archipel des îles Mérédo n’est plus qu’un lointain souvenir, il s’agit désormais d’un conflit d’honneur ou chacun refuse de perdre la face en entament des pour parler.
Pire encore ma dame, sachez que ressemant des forces ténébreuses ont profitées de la fragilité apparente du pays pour lancer une campagne, sur les landes désertique de l’ouest de Empire.
Ainsi pris au piège entre deux lignes de front, l’empereur Drascan a non seulement refusé de stopper la capture et le servage des trolls, mais il a conciliamant des attentes de votre majesté, commandé la capture de plusieurs centaines de trolls supplémentaires, ainsi que tout fauves, et gardien des plaines présent dans l’est de ses terres et de l’abatage pure et simple de la totalité des bois qui bordait les terres désertique pour y érigé une puissante ligne de défenses contre les forces du male.
La foule indigné par un tel comportement et mépris envers leur peuple, de la par des hommes, nue toute fois pas l’occasion d’exprimer son mécontentement.
Un terrible courant d’air balaya la salle d’audience, faisant tomber au passage quelques vases d’ornement de leur promontoire.
L’air qui entourait la foule était lourd d’une tension presque palpable.
L’impératrice se leva d’un bon, son visage si doue et souriant avait disparu, laissant place à une implacable expression de fureur.
Chacun des Elfe présent due presque se protéger les oreilles, quand sa voix puissante et terrifiante s’insinuât avec force jusque dans les plus profonds recoins de leur être.
Comme l’océan aussi beau et apaisant, que terrifiant et cruel, les paroles désormaient déchaînées de la régente du beau peuple s’abattirent avec rage et puissance sur tous ceux présent dans le palais.
Ont aurais dis que soudain l’ensemble de l’arbre primordiale dans le quel le palais impérial était bâtie c’était ébranler, certain près des fenêtre purent même observer un vole d’oiseau, qui effrayer par temps de violence s’enfui au loin.
Pétrifié dans une position de défense presque fœtale, chacun des nobles représentants, ne pue qu’écouter sa maîtresse.
-Ces hommes ne sont qu’un fléau pour l’équilibre de cette terre ! Partout ou ils pose le pieds, la nature se meure !
Il ne val pas mieux que ces montres de ténébreux qu’ils combattent, se sont des boucher qui tue, brûle et mutile tous ceux qui les approche au nom de leur stupide lumière, mettant en danger l’équilibre fragile de ce monde !
-Noble des maisons de mon empire, retournez sur vos terres, porter ce message à vos proches ainsi qu’à vos vaisseaux, le peuple des Elfe va dès a présent ce mettre en marche.
Rassembler chacun des navires de notre flotte, ainsi qu’un guerriers sur trois de vos rangs, l’équilibre vas être rétablit sur le continent de Seils, cette mascarade n’a que trop durée !

Six semaines plus tard…
Uro Nelgan se leva ce matin la comme il l’avait déjà fait des centaines de fois.
Après un bref passage en cuisine pour voler un morceau de pain et de saucisse, il monta les marches de l’escalier intérieur pour rejoindre la poterne qui desservait le rempart nord.
Cela faisait près de trois ans maintenant qu’il avait été affecté à l’avant poste de Drakion mais jamais la flotte d’Etamis n’avais montré le bout de son nez, et ce n’était pas plus mal songea-il.
Après tous encore seulement trois mois et il serrais libre de rejoindre sa famille dans les landes herbeuse du sud. La avec sa prime de vétéran il pourrait enfin agrandir sa ferme et vivre sans compter chaque jour les quelques pièce que lui rapportait ces cultures.
Fini la pauvreté, il aurait de quoi voir venir pour les dix prochaines années, au moins !
Quand Uro passa sur le chemin de ronde pour rejoindre le poste de garde à quelques pas de la, il ne prêta comme d’habitude pas attention à l’océan, pas plus qu’a la trentaine de vaisseaux qui en formation de combat mouillaient au large des cotes de Seils, ni au petit groupe de combattants en toge qui courrait de buisson en buisson sur la plage à ses pieds.
Quand Uro atteints finalement le poste il eu envie de demander comme d’habitude a Lyorik si la nuit avait été calme.
Il n’en eu jamais l’occasion, une flèche ficher dans sa gorge, l’empêchât définitivement, d’émettre le moindre bruit…